Félicitations pour votre blog, c’est super intéressant. J’ai juste une question sur la culture des morilles. Cette espèce ne fait pas partie de votre liste des champignons cultivables. C’est parce que vous estimez la méthode exposée (protocole de Gary Mills) comme non fiable? En outre, je suis un peu étonné car à ma connaissance, aucun industriel du champignon s’est lancé dans cette culture pourtant économiquement intéressante si l’on considère le prix de ce champignon.

bonjour

je voudrais savoir si tu connais inonotus obliquus ,ou polypore oblique champignon parasite du bouleau (le plus souvent) non commestible mais tres utilisé en infusion (decoction apelée tchaga ) qui semble etre un puissant remède médicinale ;je le vois parfois en france(il est facile a reconnaitre il ressemble a une grosse boule noir brun rougeatre et bege au millieu et pousse sur le tronc des bouleau )mais je ne connais personne qui sait me dire pourquoi on ne l’utilise pas sous nos lattitude…je ne l’ais trouver dans aucuns magasin seulement sur internet provenant du cannada de russie ou de chine ….

Bonjours dans votre article pour la culture liquide il n’y a pas de précisions du temps nécessaire pour le développement du mycélium. Je fais mon premier test avec des champignons de paris et j’utilise de l’eau et du miel. Je voudrais donc savoir combien de temps cela devrais prendre pour qu’il se développe correctement.(je sais bien que les écart de température, taille de l’Échantillon peuvent faire varier je veux seulement un estimer).

Salut Samuel,

Je suis lorrain également, j’ai séjourné 3 ans au Laos, ou je travaillais dans l’aquaculture et en parallèle avec le concours de ma femme et de sa famille nous avons produit des champignons (substrat copeaux de bois), dans des sacs. Notre pic de récolte 200 Kg, si cela t’intéresse je pourrais t’envoyer des photos et nous pourrons échanger des informations.

Je vais à nouveau faire des tests avec d’autres espèces ici en lorraine.

Franck

De formation scientifique en biologie (moléculaire, cellulaire et écosystèmes), je n’ai pas trouvé de suite après mes deux maitrises, et je suis donc dans la stabilité de la fonction publique. En allant chercher mon diplôme de ma dernière maîtrise 10 ans après l’avoir passée, il y a eu un déclic : je vais faire de la recherche fondamentale en temps que chercheur indépendant en parallèle de mon taf, et comme le déclic à eu lieu à la Toussaint avec le régal des trompettes de la mort, ce sera sur la culture des champignons.
Et voilà que je tombe sur ton blog, très bien fait, très intéressant.
Si tu le permet je vais l’utiliser pour mettre au point un protocole pour tester la culture de toutes sortes de champignons.
Pour l’instant j’ai commandé le livre de François Huart ainsi que quelques kit pour commencer (et oui la neige pas top pour les champi sauvages).
Encore bravo pour ton investissement.

Et deuxième déclic, je risque aussi d’investir sur de l’électrophorèse sur gel…

Bonsoir,

Merci beaucoup pour ce très beau blog sur la culture des champignons, une magnifique source d’information.

Il m’a donner envie de m’y lancer, la j’ai démarrer une culture de pleurote en huitre a partir d’une souche que je vais ceuillir depuis des années ayant un gout très développer.

1er étape réussie l’obtention du mycélium a partir d’un milieu de culture gélosé.

Pour la culture dans les pays en voie de développement des documents très bien réaliser sont les Agrodok trouvable gratuitement sur internet.

2 ouvrages disponibles:

Agrodok 40
– La culture des champignons à petite échelle
pleurotes, shiitakes et auriculaires

Agrodok 41
– Culture à petite échelle de champignons – 2
Agaricus et Volvariella

Bonjour Samuel,

Je tenais à te remercier pour ce blog très riche et super bien fait ! Je suis formateur en maraichage biologique en Lorraine et j’aimerai savoir s’il est possible de se rencontrer pour discuter ensemble de culture de champignons.

C’est un sujet qui pourraient intéresser mes étudiants et tu pourrais peut-être intervenir dans le cadre de la formation.
Sans compter que ça m’intéresse énormément à titre personnel.

Pourrais-tu me contacter par mail pour voir cela ensemble ?

Bonne journée,
Thomas

Bonjour,
Merci d’exister! (c’est ma foi ce qui correspond le mieux à mon ressenti ^^).
J’étais à la recherche de ce genre de contenus dans l’idée de me lancer moi aussi dans la production de champignon. Je dispose d’un emplacement en lisière de forêt, sans ensoleillement direct, où poussent de nombreuses variétés de champignons sauvages. C’est dans le jura bernois (Suisse) à une altitude d’environ 775m.
Pensez-vous que l’emplacement soit propice et faut-il craindre la proximité des animaux sauvages?